Nos (pires) meilleures vacances à Tel-Aviv
Résumé éditeur :
Pour le quatrième été consécutif, Laurent, Géraldine et leur fille Clara vont partir en vacances avec leur ami Julien et un certain Yannis, citoyen Grec de son état et roi de l'exubérance. Destination : Tel-Aviv, où le neveu de Julien fête sa bar-mitsvah. Pour les Français, c'est l'occasion de faire du tourisme, de profiter de la plage et de la douceur méditerranéenne, mais pour Yannis, soudain animé de rêves pacifistes, le projet qui se dessine a une toute autre ampleur : faire la paix entre Israéliens et Palestiniens. Ainsi, farniente et excursions vont bientôt être remplacés par des rencontres au sommet – tout au moins des tentatives – et connaissant la tendance de la petite troupe à se retrouver dans des situations catastrophiques, leur périple ne sera pas de tout repos ! Surtout que depuis qu’il a posé le pied sur sol israélien, Laurent vit une véritable crise mystique et n’a plus qu’une idée en tête : se convertir au judaïsme ! Heureusement, ils pourront compter sur le génie de la petite Clara – la plus adulte de toute la bande – pour les sortir du mauvais pas dans lequel ils ne manqueront pas de se fourrer, et aussi sur l'aide d'Oren, ingénieur en agro-alimentaire… à moins qu'il ne soit un agent du Mossad – allez savoir…Après la Grèce et Las Vegas, cette année nous partons à Tel-Aviv.
Chaque année, Agathe Colombier-Hochberg nous régale avec les aventures très particulières d’une joyeuse bande d’amis. On retrouve, bien sûr, Laurent et Géraldine accompagnés par leur petit génie de fille (parfois elle est tellement impressionnante que ça fait peur et l’on se demande qui est l’adulte), Julien, le meilleur copain, et bien entendu, Yannis, le mec qu’on adore dans les romans mais qui doit être terriblement fatiguant en vrai.
Nouveau pays, nouvelles coutumes, nouveaux paysages et surtout tous les « désaccords » que l’on connaît. L’auteure évite parfaitement les pièges et n’aborde aucun sujet délicat, son roman est une comédie, il est là pour nous divertir et elle y arrive parfaitement. Il faut dire qu’avec Yannis tout est prétexte à la gaffe, surtout quand il s’est mis en tête de devenir celui par qui la paix va régner …
D’une bar-mitsvah à la visite d’un site touristique en passant par les souks, tout peut dégénérer en un clin d’œil et c’est d’ailleurs ce qu’on attend.
Une comédie qui fait du bien !Nos (pires) meilleures vacances à tel-aviv (Messie malgré lui), parution juin 2013. Éditions Fleuve Noir
Parution juin 2014, éditions Pocket