"J'aime assez la définition que donne de moi Jean-Bernard Pouy dans la préface de « L’enfant aux cailloux » : Sophie Loubière, c’est une Agatha Christie qui pète un plomb. Le côté vieille dame qui boît du thé en imaginant le pire, c’est un peu moi - à part le fait que je penche plutôt pour le café noir. Les livres ont toujours fait partie de ma vie. Ma mère me lisait la Comtesse de Ségur, Joseph Kessel, Hervé Bazin, Marcel Aymé et Colette pour m’endormir. Vous avez là en résumé mes principales influences littéraires."
(Source : Interview Plume Libre - Décembre 2014)
Dans l'oeil noir du corbeau L'enfant aux cailloux A la mesure de nos silences
Black coffee White coffee
Cinq cartes brûlées. De cendres et de larmes
Décembre 2014
Janvier 2020