Les histoires cruelles finissent mal (en général)
Résumé éditeur :
Quoi de plus cruel qu'un joli conte de Noël ?
Pourquoi ce cadre d'entreprise tente-t-il désespérément d'effacer son numéro de portable inscrit sur le mur ? Qui sauvera cette jeune fille offerte au caïd local ? Et qui a bien pu souhaiter la mort du grand écrivain si talentueux ?
Cette année, Noël sent le sapin avec les 24 anti-héros de ces Histoires cruelles qui finiront vraiment très mal (en général).
Petits arrangements entre ennemis et bassesses quotidiennes, micmacs de couples à la dérive et vengeances bien macérées : bienvenue dans le monde merveilleux des pères-Noël assassins et des calendriers de l'avent macabres...
Habituellement, la période qui précède la fête de Noël est propice aux belles histoires qui font dormir les enfants sages en attendant ce fameux soir où le père Noël leur apportera les cadeaux tant attendus.
Cette année, les grands ont, eux aussi, droit à leur calendrier, un peu particulier, certes. Chaque case n’apporte pas la petite douceur qui fait passer les jours, mais une nouvelle noire, certaines ancrées dans une réalité où il n’y a parfois pas beaucoup d’espoir, d’autres où l’auteur prend quelques légèretés et invite sur notre pauvre Terre des personnages qu’on ne s’attend pas à croiser au coin d’une rue … Et pourtant… C’est peut-être ça la magie de Noël !
N’étant pas une adepte des nouvelles, je me suis lancée dans cette aventure pour voir ce que donne un Noël noir et j’avoue que je me suis laissée prendre au jeu.
Si certaines (très peu en définitive) m’ont un peu moins intéressée, plusieurs m’ont surprise, et très agréablement même, glaçantes, surprenantes, amusantes (même si ce n’ est pas bien de se moquer ), j’ai enchaîné la lecture de ces 24 nouvelles pour me retrouver à la fin du livre avec le sentiment d’un enfant qui a mangé un peu trop vite les chocolats de son calendrier de l’avent.
Les histoires cruelles finissent mal (en général) - Parution novembre 2015 - Editions Belfond
